Dans un récent éditorial de l’organe publicitaire Mon Hérault, Kleber Mesquida choisit ce titre auquel on ne peut qu’adhérer.
Malheureusement la suite laisse à désirer car le président du Conseil départemental oppose au nationalisme une « tradition d’accueil » qui aurait caractérisé les Héraultais lors de l’arrivée des Italiens fuyant Mussolini et des Espagnols, Franco. Il les voit, je cite, portant une vision du monde accueillante, tolérante et bienveillante au moment même où près de 40% des électeurs du département ont voté pour une extrême droite raciste. Le nationalisme c’est la guerre mais le chauvinisme départemental c’est le ridicule. L’avantage c’est que le ridicule ne tue plus contrairement à la guerre.