Gageons que le Conseil d'État prendra le temps d’étudier sérieusement le recours avec toute l’indépendance qu’exige sa fonction. Gageons aussi que les juges saisis suspendront l’exécution de ce décret de dissolution, fruit d’une décision politique arbitraire lunaire et anti-constitutionnelle. Étrange qu'il ne soit pas si prompt à réagir à l'urgence climatique et l'effondrement de la biodiversité, comme le soulignent les décisions du conseil d'État qui condamnent l'inaction gouvernemental

(Source Bassines Non Merci)

 

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