L’ANSES a annoncé que ses experts débutent ce mois-ci un travail en vue de réviser à la baisse les valeurs limites en matière de radiofréquences.
"C’est la première fois qu’il est question de prendre en considération la faune et la flore dans les valeurs limites en matière de radiofréquences, comme tout facteur d’impact environnemental."