La ministre britannique de l’intérieur, Priti Patel, a signé l’ordre d’extradition du fondateur de WikiLeaks vers les États-Unis où il risque jusqu’à 175 années de prison pour avoir publié des documents détaillant des exactions de l’armée états-unienne en Irak et en Afghanistan.
« C’est un jour sombre pour la liberté de la presse et pour la démocratie britannique », a réagi WikiLeaks qui a annoncé qu’elle ferait appel.