C’est une double peine. Longtemps invisibilisées en raison de l’absence de statut, les agricultrices peinent à être reconnues parmi les victimes de maladies professionnelles liées aux pesticides. Elles témoignent de leur parcours de combattantes.
C’est une double peine. Longtemps invisibilisées en raison de l’absence de statut, les agricultrices peinent à être reconnues parmi les victimes de maladies professionnelles liées aux pesticides. Elles témoignent de leur parcours de combattantes.