Aqui, aqui, es Besièrs revient après un intermède forcé pour cause d’accident de la circulation et de panne d’ordinateur

Actualité « hebdromadaire » de la semaine du jeudi 29 février au mercredi 6 mars 2024

  • Inauguration de la nouvelle mairie annexe de la Devèze à Béziers, le préfet de l’Hérault déclare : « Casser pour casser c’est intolérable ». C’est vrai, mais c’est pourtant ce que fait son gouvernement depuis deux mandatures.
  • À la même inauguration, le maire de Béziers demande à la population « de collaborer avec la police ». C’est ce qui s’appelle avoir de la suite dans les idées depuis deux mandatures aussi.
  • La Jeune Chambre économique de Béziers propose : « de se diriger dans le noir ». D’un point de vue économique, ce n’est pas forcément rassurant.
  •  Une entreprise (Parcoursoft) propose aux 500 000 élèves de terminale d’Occitanie qui sont concernés par « Parcoursup » de les « coacher ». Faire du fric avec le stress généré par « Parcoursup », il fallait y penser, c’est fait.
  • 100 millions de mètres cubes vont être nécessaires pour remettre le canal du Midi en eau. Question bête, avec quelle eau ?
  • En France, le besoin de logements sociaux était de 1,6 million en 2017, il est passé à 2,4 millions en 2023. Comme dit le préfet de l’Hérault « Casser pour casser, c’est intolérable ».
  • En Occitanie, 8400 logements sociaux ont été livrés en 2023, il en était demandé 200 000.
  • Le syndicat UNSA Éducation déclare : « les écoles publiques de la ville de Béziers se situent en dessous de l’indice de positionnement social (IPS) alors qu’en parallèle, les écoles privées de la ville se situent au-dessus du même indice ». Ce n’est pas l’uniforme biterrois qui va arranger cette différence.
  • Pour le 8 mars prochain, les « Rosies biterroises » dénoncent la représentation machiste des femmes dans le Journal du Biterrois. Elles ont entre autres trouvé : une femme nue nappée de chocolat pour le salon du chocolat, une femme nue vêtue de sacs poubelles pour le tri dans l’agglo, des jambes gainées de soie et chaussées de talons hauts pour prendre le bus.
  • Le maire de Maureilhan vient de faire un clip vidéo pour convaincre trois médecins d’exercer dans le centre médical municipal. Question «désert médical » , Maureilhan n’est pourtant qu’à huit kilomètres de Béziers.
  • Elles sont à la base du succès du Carnaval Occitan à Béziers, les « Calandretas » comptent 262 élèves répartis en 11 classes.
  • Contorsionniste : le maire de Béziers est le seul végétarien français de France qui appelle à voter pour la liste des chasseurs aux prochaines élections européennes.
  •  Le RN commence à tester s’il peut exister seul, sans la tutelle contraignante des Ménard à Béziers. Le premier ballon d’essai a été envoyé dans le ciel biterrois par le responsable départemental du RN : Julien Gabarron.
  • Après avoir fièrement annoncé « qu’il n’était pas marié avec le RN », le maire de Béziers vient de déclarer « qu’il était excommunié ». Pas marié ou excommunié, il faudrait choisir.
  • Les Dupont et Dupond de la mairie et de la députation accumulent les cartons jaunes politiques. Après la prise de distance du RN, c’est maintenant LR qui indique n’être en rien solidaire de la dette abyssale contractée par la municipalité. Dette qui dépassera les 130 millions d’euros fin 2024.
  • Béziers, capitale municipale mondiale de l’amour déclaré à toutes les polices accueille un exercice de « tuerie de masse » au parc des expositions qui va associer RAID, police municipale et police nationale. Franchement, ce n’est pas un gag c’est pour de vrai !
  • Plus de 1000 forages réalisés en majorité avant les années 1980 captent l’eau dans la nappe phréatique du plateau de Vendres. Et si ça avait un lien avec la salinisation des sols constatée sur le même territoire ?
  • Le taux de chômage en Occitanie s’élève à 8,8 %, la moyenne nationale est à 7,4 %. Sans surprise, ce même taux monte à 10,2 % dans le département de l’Hérault. 
  • Ces commentaires sont issus d’une lecture libre et partisane de l’actualité locale déclinée dans le quotidien Midi Libre. Pour la suite, aqui, aqui, es Besièrs c’est tous les jeudis.
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