Depuis trois jours et la mort de Nahel, 17 ans, tué par un policier, le pays s'est embrasé. L'apaisement attend une réponse politique, qui ne met pas la poussière sous le tapis des amertumes et des colères, qui n'émet pas de promesses en l'air, mais qui sait entendre et s'amender.

(Blog de François Ruffin sur Médiapart)