Le Professeur Luc Montagnier, 89 ans, prix Nobel de Médecine en 2008 pour la découverte du virus du SIDA, évacué à 60 ans de l’institut Pasteur où il avait créé une unité de recherche sur les virus à ARN puis les Oncovirus (virus facilitant la survenue de cancers), est mort le 8 février dernier.
Silence assourdissant de la part de nos autorités sanitaires et d’un président prompt aux commémorations.
Luc Montagnier avait ensuite continué ses recherches indépendantes à l’université de New York.
Chercheur indépendant, il avait travaillé sur les maladies à prions (« vache folle »).
Il avait suggéré que le virus SARS Cov2 ait été issu de travaux au laboratoire P4 de Wuhan, hypothèse qui fut confirmée par la diffusion des mails d’Antony Fauci, le monsieur santé des Etats Unis, qui avait commandé des travaux pour augmenter la virulence de cet organisme.
Il avait enfin recensé les cas de maladies à prions post-vaccinales, plus de 7 en un an et demi de vaccinations à ARN messager, alors qu’il n’en est rapporté que 2 par an au plus. Et on sait que les déclarations d’effets secondaires sont 10 fois inférieures aux cas réels.
Nous n’avons pas à nous glorifier d’avoir tant de prix Nobel, surtout dans des domaines aussi pandémiques que le SIDA, ni d’avoir, surtout en ce moment, tant de médecins lanceurs d’alerte, ni de pluralité et d’indépendance dans le discours médical pour ne pas nous indigner du vol de la mort d’un grand scientifique