Trump a pu promettre l’enfer aux Palestiniens, affirmer qu’il s’emparerait du canal de Panama, du Groenland et des richesses minières de l’Ukraine en échange de rien, tout cela sans que ce que l’on appelle la communauté internationale ne fasse mieux qu’une vague réprobation.
Aucun pays du Conseil de sécurité de l’ONU n’a demandé une réunion extraordinaire pour examiner ces dynamitages du droit international.
Par contre, lorsqu’il a décrété des droits de douane pour « rétablir la balance commerciale des États-Unis », tout le monde est monté au créneau, car cela va freiner la croissance mondiale.
C’est pourtant une bonne nouvelle, moins de croissance, c’est moins de Gaz à Effet de Serre, moins de GES, c’est moins de perturbations du climat. Mais le climat, les Palestiniens, les Groenlandais, les Ukrainiens ou les gens, en ont-ils quelque chose à faire ?Trump a pu promettre l’enfer aux Palestiniens, affirmer qu’il s’emparerait du canal de Panama, du Groenland et des richesses minières de l’Ukraine en échange de rien, tout cela sans que ce que l’on appelle la communauté internationale ne fasse mieux qu’une vague réprobation.
Aucun pays du Conseil de sécurité de l’ONU n’a demandé une réunion extraordinaire pour examiner ces dynamitages du droit international.
Par contre, lorsqu’il a décrété des droits de douane pour « rétablir la balance commerciale des États Unis », tout le monde est monté au créneau car cela va freiner la croissance mondiale.
C’est pourtant une bonne nouvelle, moins de croissance, c’est moins des Gaz à Effet de Serre, moins de GES moins de perturbations du climat. Mais le climat, les Palestiniens, les Groenlandais, les Ukrainiens ou les gens, en ont-ils quelque chose à faire ?
Quand on aime on ne compte pas
« Arènes la gestion validée » titre le Midi Libre et en page Béziers « Chambre régionale des comptes : une culture taurine historique » (quel rapport avec les comptes ?).
Or plus loin dans l’article, on lit que la gestion est atypique, façon de dire que la ville, les propriétaires des arènes et l’exploitant taquinent la ligne blanche.
En effet les montages varient au fil des ans et pas toujours dans une grande clarté ; mais Béziers a acheté un logiciel de gestion donc tout ira bien !
Au passage on apprend que la Cour pointe que la ville dispose de 300 places gratuites pour les corridas (si on peut dire, car c’est en échange de mise à disposition de locaux) et qu’elle les distribue dans la plus grande opacité.
Enfin, les clubs taurins biterrois bénéficient de 23 000 euros de subvention sans convention d’objectifs ce qui est illégal.
Rappelons que le titre était « Arènes la gestion validée ».