Actualité « hebdromadaire » du jeudi 14 mars au mercredi 20 mars 2024

  • Sans surprise, le va-t’en guerre de la mairie de Béziers applaudit le « parler vrai » du va-t’en guerre de l’Élysée sur l’engagement de la France en Ukraine.

 

  • Urgence sociale ou urgence guerrière ? (1) : un enfant sur quatre est confronté à la pauvreté en Occitanie. À Béziers, le taux de pauvreté des enfants de moins de 11 ans atteint 52 % contre 37 % à Montpellier.

 

  • Urgence sociale ou urgence guerrière ? (2) : 1476 informations préoccupantes concernent les enfants en 2023 dans le département de l’Hérault.

 

  • Deux magasins Bio, « la vie claire » place de la citadelle et l’épicerie « my vrac » avenue Auguste Albertini vont fermer dans le centre-ville. Béziers, mauvaise terre d’accueil pour le bio ? étonnant non !

 

  • Logo ASBH (1) : le 11 août 2021, la ville de Béziers rachète le club de rugby professionnel local via une SCIC. L’association ASBH gère l’école de rugby et tout le secteur amateur.

 

  • Logo ASBH (2) : le nom ASBH appartient à l’association loi 1901. La structure professionnelle paye chaque année le droit d’utiliser le logo.

 

  • Logo ASBH (3) : en 2011, l’ancien président dépose le logo actuel du club. Ce dépôt de marque est valable dix ans. Le nom ASBH est donc libre de droit depuis 2021.

 

  • Logo ASBH (4) : fin novembre 2023, une ex-candidate du FN sur la cinquième circonscription de l’Hérault profite de la vacance pour reprendre la marque figurative et verbale ASBH.

 

  • Logo ASBH (5) : les dirigeants du club et de la mairie ont laissé en jachère la marque ASBH pendant 2 ans. Ils ont permis qu’elle soit reprise.

 

  • Logo ASBH (6) : quand on défend le système capitaliste, le mieux c’est d’intégrer ses règles. Bonne chance à la mairie pour trouver un repreneur qui rachète un club professionnel sans marque et sans logo

 

  • Logo ASBH (7) : Il y a quelques jours, le maire de Béziers se demandait si : « il était prêt » à exercer la fonction présidentielle. Au vu du loupé du logo, la réponse est : non !

 

  • 2015, Ménard débaptise la rue du 19 mars 1962 au nom d’un officier putschiste. 2024, Ménard appelle à combattre en Ukraine. Entre les deux, les biterrois ont subis 9 ans d’appels aux guerres, civiles, nationales et internationales

 

  • Guerre « picrocholine » (1) : en s’appropriant la marque « ASBH » le RN envoi un message on ne peut plus clair à ses ex alliés maire et députée : vous n’êtes plus dépositaires d’une marque sur la ville de Béziers.

 

  • Guerre « picrocholine » (2) : les prochaines municipales et législatives s’annoncent belliqueuses à Béziers entre les ex-partenaires de l’extrême droite. À Béziers, la guerre c’est comme le vent ça tourne.

 

  • Agriculture : le siège biterrois de Total est totalement bloqué par 40 tonnes de déchets.

 

  • Séparatisme : comme chaque année depuis qu’il est élu, le maire de Béziers n’a pas respecté le cessez le feu du 19 mars 1962. Mais que fait Darmanin ?

 

  • Ces commentaires sont issus d’une lecture libre et partisane de l’actualité locale déclinée dans le quotidien « Midi Libre » : aqui, aqui, es Besièrs, c’est tous les jeudis. ( Prochain RDV jeudi 27 mars)