L’actualité locale ’’hebdromadaire’’, les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois, c’est tous les mercredis sur EVAB.

  • Après les migrants, la municipalité s’attaque aux crottes des chiens. On ne sait pas encore si le maire revendique officiellement un lien entre ces deux campagnes d’éradication.

 

  • Crottes de chien, encore : le fichage ADN des chiens c’était sur le parvis du théâtre pas encore dans un stade comme au Chili, mais avec l’extrême droite on sait où le fichage commence sans savoir où il s’arrête.

 

  • Crottes de chien, toujours : « la zone ADN canine » vient d’être déterminée par la mairie dans le centre-ville. Comme pour l’agglomération il y a une zone occupée et une zone libre.

 

  • Crottes de chien, one more time : 5 gardes champêtres de la commune seront chargés des prélèvements. Voilà, un métier qui prend une sacrée plus-value !

 

  • Crottes de chien et science : une cinquantaine de Biterrois seulement étaient présents à la grande conférence scientifique au Palais des Congrès sur les crottes de chien. Moins de monde donc qu’aux autres conférences scientifiques « Béziers libère la parole », mais une même odeur, tenace.

 

  • Crottes de chien dernière : EVAB lance un grand concours citoyen : filme, photographie, ton maire en train de ramasser (ou pas) les crottes de son chien Jojo sur les allées Paul Riquet.

 

  • Il était arrivé avec un masque kaki au moment du Covid pour afficher la couleur. Il avait un chien baptisé « Poutine » pour montrer qui était le maître. Il allait à la messe de la Féria pour promouvoir la laïcité. Il vient de partir à Nice. Le départ du préfet Moutouh laissera peu de regrets dans l’Hérault et à Béziers en particulier.

 

  • Taxe foncière : plus 7,1 % d’augmentation de la base locative fixée par l’État cette année. À cette augmentation se rajoute une hausse des taux des communes (entre 5 et 15 %). Dans l’Hérault c’est simple, une seule commune a décidé de baisser le sien : Joncels.

 

  • Accueil santé Béziers c’est un centre de soins gratuits : une trentaine de praticiens bénévoles, 915 patients dont 222 enfants pour 1777 consultations médicales.

 

  • Ménardie : les salariés de l’agglomération avaient un comité d’œuvres sociales (COS) leur président veut leur imposer un groupement d’œuvres sociales (GOS) qui les obligerait à recevoir la pseudo monnaie locale : le franc biterrois. On reconnait bien la ménardie à moitié déguisée en mécène et à moitié déguisée en père Fouettard.

 

  • C’est une histoire fantastique comme on les aime. Le photoreporter Antoni Campana avait photographié la guerre d’Espagne du début de la République à la Retirada. En 2018, près de 30 ans après sa disparition, sa famille a retrouvé 5000 clichés dans le garage de sa dernière maison à San Gugat del Valles près de Barcelone. Le Pavillon populaire montre 200 tirages à Montpellier. Plus de 20 000 personnes ont déjà vu l’exposition qui est en entrée libre et qui est prolongée jusqu’au 10 décembre 2023.

 

  • Quand il endosse son rôle de courtisan, le maire de Béziers ne fait pas les choses à moitié. Après avoir encensé les Le Pen, Zemmour, Dupont-Aignan, Macron . . . Ménard encense dorénavant l’action du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, mais il reste une question : pour combien de temps ?

 

  • Prochaine rubrique Aqui, aqui, es Besièrs, mercredi 27 septembre 2023