La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants ( semaine 21, du 20 au 28 mai 2023 )
- Le Colbac oppose les Caritats, fêtes médiévales non violentes endémiques à la sanglante corrida espagnole étrangère. À trop reprendre la rhétorique ménardienne, le Colbac risque de perdre son âme.
- Création du syndicat « Alliance-Justice », au centre pénitentiaire du Gasquinoy à Béziers. Prospérer et se servir de la misère restent les deux mamelles de l’extrême droite.
- Dans l’ex-Languedoc-Roussillon un peu plus des 2/3 de l’alimentation en eau potable viennent des nappes phréatiques. À ce jour, il y a un risque réel que le niveau des nappes passe en dessous des pompes de forage dit le BRGM (Bureau de Recherche Géologique et Minière).
- Henri Fabre Luce, le représentant biterrois de « Reconquête » ne voit dans la création d’un CRA à Béziers (centre de rétention administrative ) qu’une source de mutinerie et d’évasions. Chercher à se démarquer du mètre étalon local confine à l’exercice de style.
- Autre effet de la sécheresse actuelle en bord de mer, la salinisation des terres. Le BRGM craint : « une intrusion saline, qui obligerait à revoir toutes les cultures et leurs besoins en eau ».
- Apéro-tapas pour les organisatrices de la seconde « Féria des libertés » le 24 juin prochain à Béziers. Elles étaient sur le parvis de la mairie pour annoncer joyeusement l’évènement.
- En plein Festival de Cannes, le seul collège de Béziers - celui de la Dullague - qui n’est pas encore classé en REP + ( réseau d’éducation prioritaire ), attend toujours sa nomination.
- L’avocat Eduardo Kanz Alonso qui défend les victimes de Franco est l’invité du Diversival à Vendres. Il est aussi l’invité de l’émission radio mensuelle EVAB / RPH du mois de mai bientôt en podcast sur ce site.
- Les bénéficiaires du RSA ont augmenté de 4% dans l’Hérault durant le premier trimestre 2023.
- Mégabassines dans l’Hérault le département lance les hostilités en mettant le comité de pilotage en place.
- Sous les effets conjugués de l’agriculture intensive, de l’urbanisation et du changement climatique, les populations d’oiseaux baissent de 43 à 75 % sur la zone littorale.
Ces commentaires de l’actualité locale sont librement inspirés d’articles récents du quotidien Midi-Libre.