"... AUTRES COLLECTIVITÉS LOCALES...".

Toujours dans la même lettre aux biterroises et biterrois intitulée Choisir Béziers : R. Menard indique vouloir "pacifier nos rapports avec les autres collectivités locales...".
Il fallait peut-être entendre pacification au sens colonial du terme. Comme par exemple en Algérie entre 1954 et 1962 pendant ce qui au début n’était pas encore appelé une guerre d’indépendance.
À l’agglomération pendant 5 ans R. Menard se sera livré à une véritable guerre de tranchée.
Seulement vice-président de l’agglomération Béziers Méditerranée, l’Iznogoud biterrois n’aura pas supporté pendant 5 ans de ne pas être calife à la place du calife.
Tout y sera passé : attaques nominatives et personnelles, blocages et torpillages des projets, utilisation des séances plénières, instrumentalisation d’associations, mise en scène, départs intempestifs et théâtraux, recours en justice payés par les contribuables, campagnes d’affichages polémiques sur la ville, articles vengeurs dans le JDB...
Le dernier différend entretenu, celui des abribus, résume la stratégie municipale permanente de harcèlement :

• L’agglomération a attribué à la société Decaux (qui est aussi prestataire de service pour la municipalité de Béziers) la concession pour installer et assurer la maintenance de nouveaux abribus,
• Dans 16 communes de l’agglomération ça ne pose pas de problèmes particuliers,
• Dans une seule commune, Béziers, les usagers ne peuvent pas se protéger du vent et des intempéries.

Ayant été débouté par le tribunal en référé de son recours le maire de Béziers fait opposition à Decaux (qui est aussi son prestataire) pour remplacer et moderniser les abris de bus.
Résultat des courses comme dans toute guerre la population qui utilise les bus à Béziers est prise en otage.

Question bête : toi qui utilises les bus à Béziers et qui ne bénéficie pas des mêmes services que les autres usagers de l’agglomération, souhaites-tu voter pour le maire qui t’utilise dans son combat personnel contre le président de l’agglomération ?