Lancée par de jeunes activistes au grand patron de l’Élysée, traduisant leur angoisse face à son inaction coupable dans la lutte contre le changement climatique, cette question légitime mériterait d’être élargie à son action de dirigeant au pouvoir exclusif, discrétionnaire, arbitraire. Et la bonne question ne serait-elle pas : à quoi servons-nous, le peuple, dans cette farce démocratique ?

(Source Blog de Médiapart)

 

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