Nous l’appellerons Ilan. "Je souhaite que l’on ferme Sde Teiman. Les détenus ne sont pas traités comme des êtres humains", raconte ce chirurgien israélien. Il est entré une heure dans ce camp militaire, à 30 kilomètres de Gaza, à la demande de l’armée, et a accepté de répondre à la rédaction internationale de Radio France.