Le projet de loi prévoit le mariage de l’ASN, gendarme des centrales, avec l’IRSN, chargé de l’expertise technique. La réforme soulève l’opposition de plusieurs acteurs. Cela s’est joué à un cheveu. Après l’avoir rejetée il y a un an, l’Assemblée nationale a adopté à une voix près mardi la fusion controversée des deux acteurs de la sûreté nucléaire, l’ASN, gendarme des centrales, et l’IRSN, chargé de l’expertise technique.