Une enquête du journal montpelliérain Le Poing menée conjointement avec "Rapports de force" révèle l’existence, ainsi qu’une partie de la composition à Montpellier et sa région, d’un groupe semi-clandestin, dont l’objet est de mener des actions violentes contre des groupes politiques de gauche ou antifascistes. En son sein, se côtoient des militants de l’extrême droite locale qui utilisent ce label pour cacher leurs actions coup de poing.