C’est un lac artificiel grand comme 250 piscines olympiques qui irrigue une quarantaine d’exploitations agricoles. Après Sainte-Soline, c'est l'autre gros conflit de l'eau entre défenseurs de l'environnement et agriculteurs, une saga judiciaire.
Et aussi un caillou dans la chaussure de l'Etat. Le feuilleton dure depuis cinq ans, depuis que cet ouvrage a été construit sans autorisation par la chambre d'agriculture du Lot-et-Garonne, fief du syndicat agricole la Coordination rurale.