Un événement a priori anodin : une personne avait emporté avec elle une pomme au cinéma, dont on lui a refusé l’entrée. Quelle alternative saine à ce fruit défendu aurait-elle pu consommer sur place ? Eh bien aucune. Et pour cause, l’industrie des confiseries fait discrètement son beurre à l’ombre des salles obscures. Alors que le cinéma est une puissante madeleine de Proust, difficile de questionner les confiseries qui en sont le nappage. Pop-corn, M&M’s, Barbe-à-papa, Coca-Cola, glaces,… Toute la junk-food y passe.
Un business hors-champ, mais bien réel.