Robert Ménard supprime les bancs publics de la ville.
Or, ces bancs publics sont un lieu de réflexion, d’observation des immeubles, de la rue, des passantes et des passants, un creuset pour les échanges entre personnes qui ne se connaissent souvent pas.
Le banc public est le symbole de la vie et de l’hospitalité : c’est de cela que Ménard entend priver les Biterrois.